30 films classiques à revoir pour pleurer un bon coup

Qui n'a pas rêvé adolescent d'intégrer le fameux club et trouver sa voie grâce au merveilleux Mr Keaton? Rien de tel pour retrouver l'élan et l'envie de se réinventer, que de regarder Robin Williams crever l'écran, comme dans chacun de ses films. La fameuse scène du bureau vous fera pleurer à chaque fois que vous la regardez.

Poursuivons fort : "My Girl" a l'audace de transformer une histoire d'amour, premier baiser inclus, en un drame qui a marqué toute une génération. De l'époque où Macaulay Culkin était l'enfant prodige d'Hollywood.

Malgré la touche comique portée par Oda Mae Brown, le personnage joué par la magnifique Whoopi Goldberg, l'histoire d'amour fantomatique entre Sam (Patrick Swayze) et Molly Jensen (Demi Moore) est impossible puisque le pauvre Sam se mue en fantôme. Ah désespoir quand tu nous tiens...

Le film d'animation le plus réussi de l'histoire est un cadeau pour les sens. Un joyau à découvrir dans lequel tout semble déconnecté jusqu'à ce que l'histoire commence à couler et à fonctionner comme une horloge. Une histoire triste, mais qui vous laissera aussi une saveur délicieuse pendant plusieurs jours.

Adrien Brody est un autre magnifique exemple d'un acteur capable faire passer des émotions tout au long de son histoire. Dans ce cas, une grande partie des larmes versées seront dues à la colère.

Qui aurait cru qu'une histoire d'extraterrestres pouvait se transformer en un drame légendaire ? Mais avant de faire jaillir les larmes, Ron Howard donne au monde une leçon de vie exemplaire.

Un chef-d'œuvre contre la guerre qui pourrait prétendre au titre du film le plus triste de l'histoire. Évidement, si votre personnage principal est Seita, un jeune sans-abri mort de faim, qui raconte à sa jeune soeur ce qui s'est passé avant sa mort, ça devient difficile de ne pas verser de larmes. Et beaucoup...

Ah, Keanu Reeves et Charlize Theron... une alchimie parfaite. Tous deux sont splendides, drôles et tout le monde souhaiterait qu'ils aient de nombreux enfants, parfaits comme eux. Mais il y a un problème, et c'est cela qui fait de "Sweet November" un récit si édifiant.

Qui a dit qu'on ne pouvait pas s'émouvoir dans un dessin animé ? Le troisième volet de la tétralogie "Toy Story" est aussi le plus difficile de tous. Rien ne manque : les moments de tension, les scènes d'adieux, voire des épisodes où l'on pleure sans même savoir pourquoi. Et ça fait un bien fou !

Rien que de voir le casting réuni par Jon Avnet, on a envie de pleurer (mais de joie). Quand on entre dans l'histoire d'Idgie, Ruth, Ninny et Evelyn, les larmes alternent avec les rires, à une telle cadence qu'on finit par perdre le compte. Tendre et moelleux comme un bon beignet...

Les cinq premières minutes de "Là-haut" sont magistrales, merveilleuses et pourtant dévastatrices. Le vide laissé par Carl et Ellie dès le début de l'histoire n'en est que plus accablant... Et même le chef-d'œuvre qu'est "Là-haut" ne contribue pas à le combler complètement. Encore un grand moment des studios Pixar.

Rocky, le jeune protagoniste du film, a existé dans la vie réelle. Une déformation de son crâne a fait que le monde ne l'a pas vu comme l'être merveilleux qu'il était. Heureusement, sa mère et son beau-père lui ont montré ce qu'était l'amour. Un film qui vie le drame dès la première minute et qui s'y tient jusqu'au bout.

Avec Pedro Almodóvar et l'excellente Cecilia Roth, le spectateur découvre ce que c'est que de perdre un enfant le jour de son 17e anniversaire. Le film s'attache à montrer la vie comme un voyage sans but, une déambulation vaine qui finit par oppresser le cœur du spectateur jusqu'à la salutaire apparition du générique final.

Rien de tel qu'un retour aux sources pour aborder les prémisses de l'hiver. On sait comment ça se termine, et pourtant on ne se lasse pas de voir comment une planche a pu se mettre en travers de l'histoire d'amour de Jack et Rose. Il y a une telle alchimie entre Leonardo DiCaprio et Kate Winslet que le plaisir reste intact.

Six femmes : Sally Field, Dolly Parton, Shirley McLaine, Daryl Hannah, Olympia Dukakis et Julia Roberts. Six amies qui vivent dans le sud des États-Unis et dont la vie comporte des joies mais aussi des drames au quotidien. L'histoire de Shelby, le personnage de Julia Roberts, est particulièrement difficile.

C'est la comédie romantique par excellence du 21e siècle. C'est justement parce qu'il raconte l'histoire d'Allie et de Noah d'une manière si touchante, fantaisiste et drôle que la fin semble si douloureuse. Préparez les mouchoirs...

Lorsqu'un film est conçu pour vous faire pleurer, il y arrive plutôt bien. Ajoutez à cela le fait que Juan Antonio Bayona soit chargé de sa réalisation et vous aurez tous les ingrédients pour que tout le monde finisse avec les yeux humides. La partie magique ne fait qu'ajouter au drame.

Grandir et passer de l'enfance à l'adolescence est déjà un drame en soi, très justement raconté par ce long-métrage d'animation. Deux scènes en particulier, surprenantes mais attendues à la fois, enlèveront pour toujours un petit bout du cœur de tous ceux qui les voient et les endurent.

Film dramatique s'il en est, réalisé par Alejandro Amenábar, "Mar adentro" raconte l'histoire de Ramón Sampedro de façon si bouleversante que la fin, bien qu'attendue, finit par avoir un grand impact sur vous. Javier Bardem est un prodige d'interprétation.

Quiconque connaît le classique de Shakespeare (c'est-à-dire tout le monde) sait d'avance, sans surprise, que la fin est difficile. Maintenant, le voir porté à l'écran avec deux jeunes stars charismatiques comme Claire Danes et Leonardo DiCaprio qui jouent le couple, c'est encore plus difficile.

Roberto Benigni a fait de véritables merveilles avec "La vie est belle". Personne n'a jamais su comme lui donner une touche comique au nazisme, tout en montrant le côté le plus sombre de cette époque. La fin du film est absolument dévastatrice.

Portant la marque incontestable de Tim Burton, "Big fish" est un conte féérique, fait de merveilleux récits: une histoire à faire craquer les durs-à-cuire. La fin agit comme un poignard dans le cœur du spectateur. Soyez prêts !

Lorsque Tom Cruise décide de prendre en charge Dustin Hoffman, son frère dans le film, il ne soupçonne pas l'ampleur de son autisme. Après plus de deux heures de construction d'une relation qui était jusqu'ici inexistante, la fin est dévastatrice et frappe le spectateur au ventre.

Le film de Juan José Campanella raconte une histoire délicieuse, mais c'est aussi un formidable drame. Avec un Ricardo Darin exalté qui tente de réaliser le rêve de Norma Aleandro, sa mère dans l'histoire, désormais atteinte d'alzheimer : se marier en grand, à l'église, comme elle n'a jamais pu le faire.

Ansel Elgort et Shailene Woodley sont les recrues idéales pour jouer Gus et Haze. Deux jeunes gens atteints de différents types de cancer, dont la fin semble être écrite à l'avance. Et pourtant, le film réussit à surprendre.

Julia Roberts, Susan Sarandon, Ed Harris: l'histoire d'un triangle amoureux dans lequel s'invite un cancer qui finira par donner du sens à l'ensemble, tout en promettant une fin tragique. La scène musicale est devenue culte dans l'histoire du cinéma.

Lorsque le spectateur comprend que Björk est une actrice de poids et qu'il adhère à l'histoire, il a déjà les larmes aux yeux. Un film brutal et dur, marquant sur la durée.

La trame de Lee Daniels alterne des moments difficiles et des scènes dramatiques. Au bout des 110 minutes que dure le film, le spectateur a le sentiment d'avoir été malmené, passé à tabac. Pour les courageux seulement.

Robert Zemeckis est capable d'écrire plusieurs films en un. C'est ainsi que "Forrest Gump" est devenu le chef-d'œuvre qu'il est aujourd'hui. Parmi les scènes qui le composent, le drame s'invite pour laisser entrevoir plusieurs moments absolument bouleversants.

Une histoire de rédemption inachevée. Un chemin vers la lumière tronqué au dernier moment. Lorsque les Vinyard se rendent compte que la vie qu'ils ont choisie n'est pas la bonne, ils ont déjà laissé de nombreux ennemis sur leur chemin. C'est à l'un d'entre eux que l'on doit une scène finale dévastatrice, aussi merveilleuse qu'accablante.